Et la marquise ajouta la fessée sur la carte du tendre

Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans

La marquise de J. s’était retirée en ses appartements, après une longue et joyeuse soirée passée chez le duc de M.. Comme à son habitude elle s’était illustrée par des réparties pleines de piquants qui avait fait d’elles le centre d’attention de la société présente, et tout particulièrement de ces messieurs, du moins ceux qu’elle n’avait pas égratignés au hasard de ses saillies... Le comte de P., notamment, avait plutôt des raisons de se plaindre d’elle, et elle riait encore, à cet instant, en repensant à la peur qu’elle lui avait causé en évoquant à mots couverts son dernier duel…

Elle l’avait bien vu retenir sa respiration, et suffoquer quelque peu ensuite quand il s’était f o r c é à se joindre aux autres, qui riaient à la plaisanterie. Mais seuls ceux qui étaient dans la confidence avaient compris l’allusion, fort heureusement pour le comte. Elle n’avait bien sûr pas cherché à le trahir, mais elle adorait le titiller et le sentir à sa merci, car au fond, elle buvait chacune de ses paroles et ne manquais jamais un dîner où elle le savait présent… Mais les sentiments du comte à son égard étaient bien obscurs, songea-t-elle en allant pour appeler Lucette. Elle n’avait pas encore sonné que l’on frappa à la porte dans le mur, donnant sur un passage secret. Le bruit la fit sursauter, elle n’avait pas donné rendez-vous à Geoffroy de A. ce soir, il l’ennuyait trop depuis qu’elle s’était entichée du comte…

« Lucette ? est-ce toi ? Pourquoi diable passes-tu par là ? »

La porte s’ouvrit, et la marquise retint un cri… Le comte de P., magnifique, passant du couloir sombre à la pièce éclairée, apparut. Il souriait, manifestement ravi de l’effet de surprise provoqué. Mais la marquise finit par se reprendre :

« Que faites-vous ici, Comte ? Et d’où connaissez-vous l’existence de ce… de cette entrée !

_Oh, mais c’est fort simple ma chère marquise. Je crois bien que le baron de A. s’est lassé de vos sautes d’humeur continuelles, et il a admis que j’avais ce soir des raisons de chercher à vous revoir.. mmh, disons en …privé. Il m’a donc révélé l’existence de ce passage bien commode pour les visites nocturnes, ainsi que le mot de passe à donner à votre fidèle domestique…

_le traître ! je ne le reverrai plus !

_Allons, allons, du calme, Marquise. Vous m’aviez posé une autre question, ce me semble. Parlons plutôt de ce qui m’amène, maintenant que je suis là, n’est-ce pas ? »

La marquise avait un instant pensé appeler ses domestiques mais elle ne voulait pas qu’ils apprennent tous l’existence du passage.. Et puis peut-être qu’elle allait pouvoir en savoir plus sur les intentions du comte, et cette façon de s’introduire chez elle avait quelque chose d’osé qui ne lui déplaisait pas. Cependant elle se promit bien de l’éconduire ce soir pour lui apprendre les bonnes manières, et surtout pour mieux le reconquérir demain…

« Qu’y a-t-il de si pressé, monsieur le Comte, qui justifie une intrusion de la sorte ? Alors que nous nous sommes quittés il y a à peine une heure… Ne devions nous pas nous rencontrer demain ?

_Certes madame la marquise, certes. Mais voyez-vous, j’ai n’ai pu attendre à demain… pour que vous me rendiez raison de l’affront que vous m’avez fait subir ce soir ! »

La marquise sourit.

« Eh bien, votre raison à vous ne s’arrange pas cher Comte. Quel affront ? Une petite moquerie de rien du tout. Et est-ce que vous provoqueriez même les femmes en duel en maintenant ? ce serait donner à nouveau matière à rire, ne croyez-vous pas ?!

_une petite moquerie qui pourrait m’envoyer en exil, s’ils avaient été moins sots ce soir… et vous le savez.

_Mais Comte, puisque personne…

_Il suffit ! personne ce soir, mais combien demain, quand vos allusions deviendront de moins en moins allusives ? Vous aviez déjà failli me perdre sur l’affaire du château de S. . Je ne devrais plus vous faire confiance et ce soir vous allez l’apprendre à vos dépens.

_Oh, Comte !

_rassurez-vous je ne vais pas vous provoquer en duel, il serait par trop fastidieux de vous apprendre le maniement de l’épée, d’ailleurs vous ne le méritez pas. La seule chose que vous méritiez, c’est une punition. »

A ce mot, la marquise avait rougi, d’où un saisissant contraste avec sa peau blanche, mais qui cependant renf o r ç a i t la chaleur naturelle de son visage encadré de cheveux auburn. Elle tenta de maîtriser sa respiration qui s’emballait, et, d’une voix qu’elle voulait ferme, répliqua :

« Cessez immédiatement cette plaisanterie, Comte, ou je fais appeler !

_Oh non, vous ne le ferez pas, car ce passage secret est un… secret justement. Et vous ne tenez pas à ce que votre relation avec le baron ne parvienne aux oreilles du marquis, n’est-ce pas ? Mais je suis d’accord avec vous pour cesser la plaisanterie et passer aux choses sérieuses. Acceptez-vous de vous plier tout de suite à la punition que je vous réserve, ou dois-je me montrer plus convaincant ? »

Cette fois la marquise avait blêmi. Tout en parlant, le comte s’était approché en tournant autour d’elle. Le feu non entretenu avait commencé à baisser, et son ombre n’en était que plus impressionnante. N’ayant plus d’autre choix, elle hocha faiblement la tête, ne sachant pas à quoi à s’attendre. Mais bien qu’effrayée, elle sentait aussi au creux de son ventre noué une pointe d’attirance, quelque chose comme du désir.

« Parfait, dit le comte. Venez par ici. »

Il avait pris place sur la chaise de la coiffeuse, et quand elle fut à portée de main, il la bascula prestement sur ses genoux, et, dans le même mouvement, rabattit la longue jupe pourpre sur son dos. Le mouvement réflexe de la marquise pour l’en empêcher n’aboutit qu’à avoir les bras prisonniers le long du corps, retenus fermement par le bras gauche du Comte.

De l’autre main il retroussa, un à un cette fois-ci, lentement, tous les jupons. m o r t ifiée et impuissante, la marquise cessa de se débattre et attendit en espérant que ça passerait vite, ayant enfin compris les desseins du Comte. Sous les jupons celui-ci avait découvert un fin pantalon blanc de percale, joliment brodé, qui laissait déjà bien deviner des formes rondes et pleines. Il hésita à commencer, et finalement baissa le dernier rempart menant à son objectif, découvrant de très belles fesses, très blanches, tout comme les jambes, fines mais musclées par l’équitation.

Sentant son pantalon glisser, la marquise tenta de le retenir, en relevant les jambes puis en les écartant, ce qui fit rire le Comte. Sans quitter des yeux les fascinantes fesses de sa prisonnière, rondes, et rebondies sans pour autant dissimuler le haut des cuisses, il attrapa le pantalon au vol quand elle leva les jambes et s’en servit pour lui attacher les deux mains dans le dos. Il riait toujours, ayant sous les yeux la preuve de l’excessive coquetterie de la marquise…

« Ainsi ma chère vous vous poudrez le corps entier, et pas seulement le visage et la gorge ! Pourtant le marquis est absent, non ? Vous attendiez peut-être quelqu’un d’autre ?! Voilà en tout cas un secret qui donnerait matière à rire, comme vous le dites si bien ! »

La marquise protesta, retrouvant sa vigueur à l’idée de la cour apprenant ses secrets.

« Vous n’êtes qu’un mufle ! Et vous dites être un gentilhomme, alors que vous profitez du pouvoir que vous avez sur moi pour le moment !

_Oh, mais non je ne suis pas un mufle, moi. Contrairement à vous, je respecte vos secrets, et je n’irai pas répandre ce qui ne regarde que vous ! Quant à profiter de mon pouvoir… Je cherche justement à vous inculquer, par là ou personne ne l’avait fait auparavant, la notion de secret à ne pas divulguer. Vous verrez, cela vous sera très utile dans la vie. Néanmoins ces coquetteries sont fâcheuses, pour vous j’entends, car vos fesses seront sans doute plus longues à rougir… »

Alors, lentement, il ôta un gant puis l’autre, effleura avec la paire le cul de la marquise, de haut en bas le long de la raie, et devant le frémissement provoqué il n’y tint plus, et abattit sa main sur les fesses, provoquant un très léger nuage blanc, perceptible uniquement devant le feu. Dès lors les claques se succédèrent, plus fortes et plus rapides, régulières puis discontinues, réparties sur tout l’espace qui s’offrait à sa main, traquant les restes de blancheur vigoureusement.

Très vite, la marquise se mit à remuer les hanches, serrant les fesses avant la fessée qu’elle croyait imminente, mais le comte la déjouait chaque fois qu’elle tentait de prévoir, et elle n’en eut bientôt plus la f o r c e . Dans le crépitement du feu, les claques retentissaient, et parfois il devenait difficile de discerner les craquements et les claquements.

Le Comte savourait pleinement chacune des fessées, croyant à l’extase, entre la vue du cul se colorant, le contact doux et chaud quand il laissait sa main reposer un instant après l’avoir abattue, les bruits du feu et de la fessée mêlés… Cependant la marquise avait un peu oubliée où elle se trouvait, et, si ce n’était la sensation de brûlure naissante sur son fessier, elle aurait plus distinctement ressenti de la chaleur dans son bas-ventre.

Le comte s’interrompit alors pour admirer son résultat, qui le ravit. Une grande tâche rouge recouvrait maintenant chaque fesse, intense au centre de chacune, et plus claire sur les bords. L’effet n’en était pas moins réussi, grâce au contraste avec ses jambes demeurées, elles, bien blanches. Il se permit enfin d’apprécier un peu plus posément la douceur de son objet de désir, frôlant d’abord du bout des doigts la peau tout autour des fesses, là où c’était le moins douloureux pour la pauvre marquise. Puis il caressa de la main toute entière chaque fesse, et les deux en même temps, s’arrêtant en bas, contre l’orée des cuisses, pour presser la partie la plus charnue.

Il voulait s’imprégner de la sensation envoûtante que cela procurait, d’avoir ainsi, offertes, les fesses de cette femme dont le sourire et le visage mutin le hantait, qui le charmait à la cour par son esprit toujours percutant, tout autant, d’ailleurs, que ses comportements de précieuse pouvaient l’agacer. La marquise le laissait faire, trouvant beaucoup de réconfort à ces caresses, s’apaisant, ne demandant plus qu’à s’oublier dans les bras du Comte.

Elle fut brusquement rappelée à la réalité quand, soudainement, le Comte l’empoigna par le torse, la remit sur les pieds, et lui détacha les mains. Quand il parla, sa voix avait pris une intonation dure et sèche qui impressionna la marquise. Elle l’avait rarement entendu parler ainsi.

« Allez vous mettre face à votre lit. Bien, maintenant penchez vous en troussant toutes vos jupes et posez vos avants-bras sur le lit. »

La marquise, vaincue par la fessée et encore toute détendue par les caresses, s’était exécutée mécaniquement. Mais la position que lui imposait maintenant le Comte fit ressurgir sa révolte. Elle se contenta de poser l’amas des jupes au-dessus du fessier, de sorte que les broderies et les volants tombaient dessus.

« Je vous ai demandé de trousser vos jupes, pas de les remonter légèrement ! Que croyez-vous que cela signifie ! Dégagez bien vos fesses et offrez les parfaitement à ma vue sinon vous aggravez votre cas, et je finirai par tout vous enlever. C’est mieux. Cambrez et écartez les jambes, que le spectacle soit complet. Eh bien ! oserez-vous encore vous jouer de moi comme ce soir ? je pense que non, mais ça ne suffit pas. Ce soir je vais vous ôter toute envie de recommencer sur qui que ce soit. »

Le feu semblait sur le point de s’éteindre. La marquise, humiliée et tremblante, s’en félicitait cependant, espérant que le Comte ne pouvait ainsi pas bien voir. Soudain, la dernière flamme expira, et l’on ne vit plus rien. Pourtant, pétrifiée, la marquise n’osa pas bouger, craignant que la colère du comte n’empire. Elle entendit le bruit étouffé de la porte du passage s’ouvrir et se refermer, puis, plus rien. Que faisait-il ?

Elle perçut sa respiration, il était encore là. Mais ainsi courbée, ensevelie sous les froufrous, elle ne parvenait pas à distinguer s’il se rapprochait ou pas. Un coup fulgurant s’abattit sur ses fesses. La morsure de la cravache la surprit avant de la brûler et elle poussa un cri, bientôt suivi par quelques larmes. Elle ne prévit pas plus le deuxième coup, ne pouvant ni voir ni entendre le Comte. Celui-ci, les yeux habitués à l’obscurité, en jouait habilement. Entre chacun des 3 coups suivants il bougea, visa plus haut, puis plus bas, une fesse ou l’autre. Il distinguait faiblement, à la faveur d’un rayon de lune, les traînées foncées s’imprimant sur le cul de la marquise. elle se mordait les lèvres pour ne pas crier, mais elle ne serrait plus les fesses, pour mieux sentir l’onde de résonance et de plaisir dans son bas-ventre.

La lumière revint au fur et à mesure que le Comte allumait des chandelles. Il mourrait d’envie de la prendre dans ses bras, mais il ne voulait qu’elle se sente trop vite pardonnée, et surtout il avait une dernière idée à mettre à exécution…

« Allez au coin, à présent, et maintenez bien vos jupes relevées. Méditez un peu tandis que je ranime le feu. »

Mais loin de se diriger vers l’âtre, il gagna la sonnette et pressa fermement dessus.

« Mais qu’est-ce que vous faites !,s’exclama la Marquise. Lucette va venir !

_Silence ! vous n’avez pas le droit à la parole quand vous êtes en pénitence ! tenez-vous tranquille ou je recommence devant votre bonne ! »

La Marquise obtempéra, mais, curieusement, s’aperçut qu’elle ne trouvait pas de réconfort à ruminer une vengeance contre le Comte, elle aspirait juste à ce qu’il la rejoigne. Elle trépignait face au mur, mais quand Lucette entra elle fit son possible pour ne pas imaginer la moue surprise et bien vite amusée de sa bonne. Elle l’empêcherait bien de tout raconter aux autres domestiques.

Le Comte demanda à la servante de raviver le feu, et, tout en feignant de s’absorber dans le premier roman qu’il trouva, il ne cessait de jeter des coups d’œil à la dérobée sur les fesses nues de la Marquise, maintenant zébrées par quelques traces croisées.

Quand la servante repartit, le comte rejoignit la marquise, et comme à regret, fit retomber ses jupes. Puis, anxieux, il la tourna délicatement vers lui, attendant sa réaction, cherchant son regard. Elle esquissa un sourire sans larme, se pelotonna dans ses bras, et, se haussant sur la pointe des pieds, lui glissa à l’oreille : « Si l’on vous envoyait en exil, vous m’emmèneriez, n’est-ce pas ? »

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